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19/06/2017

Télémédecine : un moyen pour implanter les puces à la population

 

Quand un « docteur » envoie des signaux de commande directement à votre organisme connecté à un réseau

 

Le projet de loi « La modification de certains actes législatifs de la Fédération de Russie sur l'utilisation des technologies de l'information et de télécommunication et l'introduction de formulaires électroniques dans le domaine de la santé » sera examiné par le Comité sur la protection de la santé de la Douma d' État.

 

Le projet de loi donne la définition suivante: « La technologie de télémédecine : technologie de communication et d'information utilisant les prestations de services médicales par l'interaction à distance entre les participants de l'échange d'informations dans le processus de traitement, y compris leur identification et l'échange de dossiers médicaux sous forme électronique ». Le projet de loi introduit les consultations à distance, la surveillance de la santé à distance (et l'imposition de l'implantation de capteurs et puces à ce titre n'est pas exclue), avec la création d’un système d'information unique dans le secteur de la santé, qui contiendra des informations sur l'état de santé de tous les citoyens de la Russie - ce qui crée un risque énorme de la fuite dans les mains de criminels pour trouver de sains organes humains en vue de leur prélèvement et transplantation aux clients fortunés et pour d'autres abus.

 

Le projet de loi prévoit la délivrance d'ordonnances électroniques, certificats, relevés et autres documents médicaux, et à ces fins, des médecins (assistants médicaux, sages-femmes) seront obligés d'obtenir « une signature électronique renforcée qualifiée », présentant son numéro d'assurance du compte individuel et numéro d'identification fiscale, avec la procédure appropriée de la numérotation personnelle et du traitement des données personnelles.

 

Il y a une crainte que le projet de loi contribuera à une nouvelle réduction du personnel de la santé, en particulier dans les zones rurales, et leur remplacement par des cabinets automatisés pour l'examen « télémédical » à distance sans médecin, à l'aide de capteurs, et plus tard, des puces électroniques. Il convient également de noter que le projet de loi n'interdit pas l'utilisation des technologies de télémédecine et l'intervention médicale qui affectent l'état mental d'une personne, ce qui crée le risque d'impact sur la conscience des milliers et millions de personnes et de manipulation psychologique sur les patients et autres participants des séances de télémédecine.

 

Extrait du livre de G. Tsareva « Le guet-apens électronique »

 

Le contrôle continu de l'état de santé du patient et l'identification de la formation de pathologies, avec la notification d'alarme indiquant l'emplacement de l'abonné et l'analyse instantanée des indicateurs biométriques, assure la surveillance à distance du patient et de la prise de médicaments. Sur la base des bracelets de télémédecine, des capteurs fixés au corps et des puces implantées, des services pour le diagnostic à distance apparurent, en vue de déterminer des paramètres physiologiques de l'homme et prédire son état de santé : température du corps, rythme cardiaque, pression artérielle, taux de sucre dans le sang, saturation du sang en oxygène et d'autres indicateurs de l'activité humaine.

 

Un opérateur de réseau mobile transmet les données télémétriques de l'appareil situé sur le corps humain, vers le centre de contrôle, pour y traiter automatiquement et transmettre un signal au personnel médical. À première vue, c'est très pratique, mais le but principal de ce développement est l'implantation des puces à la population.

 

En 1995, l'Organisation mondiale de la santé et l'Union internationale des télécommunications signèrent un « protocole d'accord », selon lequel les deux organisations unissent leurs efforts dans le domaine de l'information et de la communication pour améliorer la qualité des soins pour les personnes vivant dans les zones rurales et éloignées. En décembre 1997, la consultation internationale de l'OMS sur la télémédecine définit les éléments stratégiques de ses activités en télémédecine à l'intention des pays en développement.

 

Et qui sera connecté au système de surveillance de la santé, seuls les malades ? Il s'avère que non. Ce seront patients en consultations externes, célibataires, athlètes, membres de la famille des patients qui sont hospitalisés, les gens qui surveillent leur santé, pratiquent le fitness, bref, presque tout le monde. Par conséquent, tous les citoyens du pays, pour réaliser le programme de télémédecine, dans un avenir proche, seront équipés d'un dispositif avec des étiquettes RFID, des puces qui permettent l'identification des renseignements personnels sur sa santé.

 

Par conséquent, pas besoin de médecins dans les villages, parce que les gens seront connectés en un réseau unique, les médecins vont surveiller la santé des citadins et les résidents ruraux à travers une variété de capteurs et puces implantés, et les informations seront fournies dans des centres médicaux. C'est pourquoi le gouvernement est si pressé de faire installer l'internet et la communication cellulaire dans toutes localités, même dans les plus petits villages.

 

Le système unifié médical d'information et d'analyse (EMIAS) est la première étape pour le contrôle total sur tous les habitants de la Russie, parce que dans ce système, les informations sur chaque personne seront recueillies des diverses institutions médicales, puis seront accumulées et stockées dans une carte électronique qui sera disponible à tout fournisseur de soins de santé autorisé. Le système doit être intégré à la carte électronique universelle.

 

À tout être humain, dès sa naissance, un numéro unique du patient est attribué, un numéro hexadécimal comme dans le monde entier, dans le cadre du programme médical mondial sur la télémédecine supervisé par l'ONU, l'OMS et la Fondation Rockefeller.

 

Le code d'identification signifie que chaque personne se voit attribuer un numéro personnel auquel toute l'information médicale sera attachée. Ce code d'identification médical deviendra un fichier à l'échelle nationale, qui contiendra toute l'histoire de la vie du patient.

 

Les données sur la maladie seront ajoutées aux données sur les lieux de travail, de vacances, de traitement, sur les revenus et les impôts et ainsi de suite. Est-ce la sécurité si les informations sur la personne seront recueillies dans un seul endroit ? Il est clair que tous les identifiants de patients sont nécessaires non pas pour le traitement, mais pour le suivi.

 

Un numéro de patient unique dans le dossier électronique de patient est un numéro immuable, indestructible,  attribué par le système pour rechercher le patient dans le système de la carte médicale électronique. Le nom et prénom du patient, ni son information d'adresse, ne sont pas stockés dans le système.

 

À la suite de la mise en œuvre de la médecine informatique, les citoyens russes deviendront, évidemment, des donateurs potentiels à leur insu ; avec l'examen médical, il sera possible de choisir tout organe approprié d'un adulte ou d’un enfant.

 

Il est clair que l'objectif ultime de la télémédecine de l'information est l’implantation de puces à la population de la Russie. Par conséquent, il ne faut pas adopter des projets comme « Stratégie de la science médicale » sans discussion nationale, il faut mettre la population au courant des plans ambitieux du gouvernement.

 

Résultat

 

Le projet de loi est approuvé par la Douma d'État en première lecture. Selon la ministre de la santé, le projet prévoit connecter au système d'information unique tous les hôpitaux et les cliniques d'ici la fin de 2018. Le projet de loi prévoit la création du système unifié de l'information médicale (EMIAS), qui, comme il est indiqué dans l'explication du projet de loi, assurera l'interaction des systèmes d'information des institutions médicales avec les pouvoirs publics.

 

 

Source protivkart.org : partie 1, partie 2

Traduit par Olga (TdR)