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 19/07/2017

 La sentence de mort à l'état et à la personnalité

 

La perestroïka, étape 2. La Russie est servie à Rotschild et Cie sur un plateau d'argent dans la jolie enveloppe « Économie numerique »

 

Les gens qui implantent dans la conscience des citoyens russes les concepts « la société numérique » et « l’économie numérique », effectuent une tâche stratégique qui leur est chargée par certaines forces. Cette tâche consiste à transférer la gestion de notre pays aux entités transnationales.

 

Aujourd'hui, on parle également de la formation d'une « nouvelle civilisation numérique ». Le « branché » chef du gouvernement de la Fédération de Russie D. Medvedev, lors de la session plénière du forum Les innovations ouvertes le 30 octobre 2013 à Moscou, déclara : « Nous sommes au tournant d'une toute nouvelle civilisation ».

 

Il convient de rappeler ici les mots de l'un des principaux idéologues de sa construction Zbignev Bjezinsky, écrits en 1968:

 

« Les possibilités de contrôle social et politique sur l'individu vont augmenter. Bientôt, il sera possible d'effectuer un contrôle quasi continu sur tous les citoyens et maintenir des fichiers informatiques constamment mis à jour, des dossiers contenant les détails les plus sensibles sur l'état de santé et le comportement de chaque personne... Les autorités compétentes auront un accès instantané à ces fichiers. Le pouvoir sera concentré entre les mains de ceux qui contrôlent les informations... Cela va créer une tendance pour les prochaines décennies qui conduira à l'ère technétronique - la dictature où les procédures politiques existantes seront abolies presque complètement  ».

 

Ces mots révèlent les concepts de base liés à la construction du nouvel ordre mondial (numérique) - c'est premièrement la mise en place d'un système de contrôle total en temps réel sur tous les citoyens en vue de leur asservissement complet :    « le pouvoir sera concentré entre les mains de ceux qui contrôlent l'information ». Que signifie « abolir les procédures politiques qui existent aujourd'hui » ? Détruire les notions traditionnelles de l'État et de la loi ; détruire le système naturel des relations sociales qui existent depuis des milliers d'années ; et transformer une personne en un composant du système informatique, contrôlé et commandé de manière rigoureuse - c'est-à-dire, lui prendre sa liberté donnée par Dieu et l'image de Dieu.

 

Au début des années 2000, à Okinawa en 2000, à Genève en 2003 et à Tunis en 2005, plusieurs accords au sommet furent conclus, afférents à la construction d'un réseau informatique mondial supranational (numérique), ou du Réseau global.

 

L'essence anti-chrétienne, anti-étatique et anti-humaine de la société de réseau fut ouvertement révélée en 2002 dans les articles programmatiques de A. Davydov, analyste-chef de la chambre haute du parlement de la Fédération de Russie (RF) :

 

-           « Sur certaines implications socio-politiques de la formation de la structure réseautique de la société »  

-          « Le Réseau comme la principale forme d'organisation future de la société » 

-          « Autour des perspectives de l'émergence des juridictions corporatives »

 

publiés dans le « Bulletin analytique » №17 (173) du Conseil de la Fédération de RF.

 

En voici des citations :

 

« Aujourd'hui, la communauté mondiale en général, et la Russie en particulier, connaissent un changement « silencieux », mais grandement radical, de la structure sociale. L'essence de ces changements est en établissement des relations directes et égales de tous avec tous, qui se passe de façon non uniforme en raison des différences en mode de vie des peuples, mais en même temps tout à fait systématique.

 

Le concept de « souveraineté » sera radicalement révisé par la communauté internationale. En effet, à présent, la souveraineté de l'État est, au fait, la souveraineté d'un système de gestion bureaucratique qui assuma le droit d'exercer l'autorité suprême sur un certain territoire.

 

Un réseau organise l'interaction de façon plus efficace que ne le fait un état, donc, il est meilleur garant des libertés existantes de l'individu, lui fournissant une nouvelle liberté. L'une des plus évidentes est la liberté de la bureaucratie de l'État, ou autrement dit, la liberté de la citoyenneté. Un réseau est une société des individus souverains, et non pas une société des citoyens...

 

L'état, qui deviendrait, sous pression du Réseau, plus transparent au public, va inévitablement perdre ses principales propriétés politiques. À force de la réalisation de cette tendance, le concept de « souveraineté étatique » perdra le sens appliqué, parce que l'État n'aura plus d'attributs tels qu'un territoire ou les affaires intérieures, qui permettent actuellement de lui appliquer le terme de « souveraineté »...

 

Dans le domaine de la construction étatique il ne faut pas s'isoler, par contre, il faut transformer les intérêts du pays en intérêts des partenaires de la communauté internationale. À cet égard, il convient d'anticiper que des instruments non-étatiques de l'influence idéologique sur les élites au pouvoir vont, de plus en plus ouvertement, jouer le rôle du premier plan pour former l'unité de ses opinions et actions. Tels que la Commission Trilatérale et le groupe Bilderberg... »

 

Les idées contenues dans le « Bulletin analytique » №17 (173) du Conseil de la Fédération de RF, ainsi que et les décisions qui furent prises dans le cadre des accords internationaux, sont mises en œuvre activement et systématiquement au cours des 15 dernières années. Il ne fait aucun doute que l'article de A. V. Davydov est un fruit d'un travail collectif avec l'utilisation des « instruments non étatiques de l'influence idéologique sur les élites au pouvoir ». Ce n'est autre que le plan assez détaillé pour la destruction de l'État russe et des peuples qui vivent sur son territoire.

 

Dans l'introduction du « Bulletin analytique » il est indiqué que le matériel est conçu « spécialement pour la rencontre des chefs des organes législatifs des entités de la Fédération de Russie ». Dans les notes, il est souligné spécialement :

 

« Les documents informationnels et analytiques préparés par les départements de l’agence représentent des moyens pour influencer sur le processus législatif. On peut considérer les informations contenues dans ces documents comme ayant l’importance stratégique. À l'issue du traitement analytique, l'usager reçoit une information signifiante obtenue à partir des données qui furent estimées, interprétées et corrélées, et qui est présentée en sorte que l'on puisse voir clairement une solution pour une tâche spécifique  ».

 

Aujourd'hui, cette « tâche » est résolu à l'échelle mondiale !

 

En même temps, le « Bulletin analytique » dit :

 

  « On aura, apparemment, à construire le travail politique non pas sur les intentions programmatiques, mais sur la pratique de la gestion de crise... Cela va augmenter progressivement le nombre de défaillances dans les mécanismes sociaux traditionnels tels que les autorités actuelles... Des récidives de l'application des méthodes sur la base des relations indirectes et des structures de force seront la réaction naturelle. Cependant, le passé n'a aucun moyen de résister aux avantages du Réseau... Il y a aussi une menace dans la division des personnes en « ceux du réseau » et « ceux hors le réseau », qui n'est pas liée à une différence des revenus, mais à la capacité personnelle de vivre pleinement dans les conditions du Réseau. L'élimination de l'inégalité réseautique, lourde de la dégradation de la société, nécessite l'augmentation du niveau et le développement des formes d'enseignement, y compris obligatoire. En général, le cours des événements ne permettra pas de contourner le Réseau, puisque quand la nouvelle technologie déferle sur vous, si vous ne devenez pas une partie du flux, vous ferez partie de la route ».

 

Qu'est-ce que l'on entend par « la pratique de la gestion de crise »? C'est une transition délibérée vers une politique de chaos contrôlé, où les gens vivent en permanence dans une atmosphère des changements inattendus. Dans ce cas, toute l'attention d'une personne se concentre sur la lutte quotidienne pour la survie dans une situation tout à fait imprévisible. Pas étonnant que l'un des principaux idéologues de la mondialisation, l'ancien président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement Jacques Attali soutient qu'une nouvelle ère survient, « l'ère de l'argent ». L'argent devrait devenir, dans un avenir très proche, un équivalent universel de toutes les valeurs, y compris « spirituelles ». Attali développa l'idée d'un « état mondial », appelant un tel ordre mondial « une civilisation financière ». Dans ses livres, il proclame des idées manifestement sataniques : la destruction de la famille, la transformation d'une partie des gens en une marchandise (y compris pour les « pièces de rechange » et pour « la nourriture »), tandis que d'autres doivent constituer une nation de « nouveaux nomades » - les nomades sans Patrie, sans maison, sans autres attachements normaux humains. « La loi sera éphémère, le narcissisme sera la plus grande source de désir ».

 

C'est pourquoi la « Conception de développement de la société de l'information en Russie » dit:

 

« Le mode de vie de la majorité de la population, le modèle socio-psychologique des individus et de la société dans son ensemble vont changer radicalement... Ladite chose détermine la nécessité de la résolution d'une tâche difficile - créer du modèle socio-psychologique du comportement du membre de la société de l'information, identifier le mode d'action qui assurera une bonne adaptation et le confort de l'existence de l'homme dans la société de l'information... Le système d'éducation est le mode d'action le plus efficace pour habituer un enfant, adolescent et adulte à la nécessité de changements permanents dans le mode de vie ».

 

L'introduction de l'ordre social  « réseautique » dans la vie quotidienne de la société est en cours quasiment dans tous les pays du monde. Au fait, c’est une guerre non déclarée contre l'humanité tout entière. Et en premier chef, c’est une guerre spirituelle, visant à la destruction de l'identité nationale, la dignité nationale, à la destruction des fondements traditionnels de la société. Aussi tôt qu'en 1933, Goebbels donnait des instructions aux employés du ministère de la propagande:

 

« On peut tirer sur l'ennemi des mitrailleuses, tant qu'il ne reconnaît pas la supériorité de ceux qui possèdent de ces armes à feu. Ceci est un moyen plus facile. Mais la nation peut être transformée par la révolution de l'esprit, donc, il est possible au lieu de détruire l'ennemi, le gagner à son côté ».

 

Agissant sur la conscience des gens, il est possible de diriger leur comportement. Tel est le principe de la guerre de l'information. Toutes des armées d'experts développent des mécanismes de plus en plus efficaces pour l'impact sur le subconscient et les sentiments des gens. De nouvelles « règles de vie » sont établies sans cesse, le système éducatif est       « modernisé » constamment et réarrangé dans la direction nécessaire pour les propriétaires du monde tacites. Qui ne connaît pas encore que la Commission trilatérale et le groupe Bilderberg, avec le Conseil des relations extérieures et le Club de Rome, mentionnés dans le Bulletin du Conseil de la Fédération de RF, sont des structures supranationales puissantes ? Ils développent des mécanismes de la gouvernance mondiale et de la redistribution des ressources naturelles dans l'intérêt de « l'élite mondiale », ils désignent les présidents et contrôlent le travail des gouvernements.

 

La question principale de la mondialisation et de la construction d'un Réseau mondial est la question du pouvoir. Aujourd'hui, on peut parler de la prise du pouvoir sur la planète par un nombre limité de personnes aux fins de la domination du monde et de l'asservissement du reste de l'humanité. Un outil essentiel pour la création d'une seule puissance transnationale est la mise en place d'un système mondial de contrôle total avec le contrôle strict de chaque individu et de la société dans son ensemble.

 

Une réalisation idéale d'un tel système est la société numérique. Au fait, c'est la construction d'une tyrannie technétronique totalitaire anti-chrétienne, sans précédent dans l'histoire humaine, où les lois de contrôle des systèmes cybernétiques sont transférées à la société humaine, et les dernières technologies de l'information peuvent facilement être utilisées pour faire pression sur une personne dans le but de son asservissement politique, économique, idéologique et spirituel.

 

Le point clé de la construction de la société de réseau, ou « la nouvelle civilisation numérique », est une identification numérique personnelle - c'est un instrument principal pour la construction de la tyrannie technétronique, dans laquelle les États souverains sont détruits, et l'homme est assimilé à une chose, à un produit.

 

Là encore, il convient de rappeler que l'identifiant numérique est attribué en premier lieu à une personne, et en même temps sert de clé d'accès au fichier-dossier ayant le même code dans la base de données. Le système de commande gère les fichiers d'information des personnes et en conséquence, les personnes eux-mêmes. Il est clair que pour le système, l'objet ultime de contrôle est une personne identifiée par le fichier associé, plutôt qu’un record dans la base de données.

 

Ce n'est plus un homme libre et un citoyen qui agit en tant que sujet de droit en son nom, mais un « objet biologique », un nœud du réseau informatique mondial, identifié par son code numérique unique, qui doit obéir aux lois et règlements de la « logique numérique ».

 

Au fait, tout commence par l'attribution des numéros individuels. Il est nécessaire de souligner que c'est l'acceptation volontaire par la personne du code d'identification personnel au lieu du nom, et son utilisation dans la relation avec les autorités et les structures commerciales, qui est à la base de ce processus. Dans ce cas, le code numerique devient un attribut unique et irrévocable à vie et à titre posthume, inséparable de l'être humain lui-même.

 

Aujourd'hui, peu d’experts peuvent préjuger quelles conséquences attendent des citoyens numérisés qui rejoindraient  la   « nouvelle civilisation numérique ». On peut nommer quelques-unes pour ouvrir les yeux à ceux qui veulent connaître la vérité sur les intentions des bâtisseurs de cette société.

 

Tout d'abord, il ne faut pas oublier que, dans la société numérique il n'y aura pratiquement pas d'argent liquide. Le propre argent des citoyens sous la forme d'une « monnaie » virtuelle sera chez un intermédiaire : d'abord dans certaines banques, puis, à force de la concentration du pouvoir financier, chez un nombre très limité de personnes. Des services de médiation pour le stockage temporaire de fonds vont évoluer en contrôle contraignant et la gestion dictatoriale de l'individu. En un instant, il sera possible de mettre au zéro le compte d'un citoyen indésirable pour le système, pour n'importe quelle durée, lui exigeant telles ou telles actions selon la volonté des propriétaires du système.

 

Dans une société numérique, au lieu du principe de la présomption d'innocence, le principe de la « présomption de culpabilité » sera appliqué à chacun depuis sa naissance. Dans l'enfance, à partir de l'enregistrement de naissance, le degré de loyauté envers le système sera déterminé par le degré de loyauté des parents, et ultérieurement, ce degré de loyauté sera calculé automatiquement.

 

Une personne devra à chaque fois demander au système tous les « droits », y compris le droit à la vie, confirmant la similitude avec son homologue électronique (l'ombre électronique dans le fichier). Le statut électronique de son sosie est dans ce cas primaire par rapport au statut de la personne. Le système peut attribuer à une personne certaines caractéristiques que la personne ne possède pas, ou lui ôter des caractéristiques qui lui sont propres. Il peut facilement priver une personne de ses droits ou d'une partie de ces droits. Il peut établir pour une personne des restrictions selon les critères religieux et idéologiques. De la même manière, au lieu des lois conventionnelles, il peut fixer des règles de conduite individuelles pour chaque « objet biologique » numéroté et surveiller leur exécution.

 

Le pouvoir personnel, qui implique la responsabilité, serait remplacé dans la société numérique par le pouvoir irresponsable et anonyme du « gouvernement électronique » d'un tel ou tel autre protectorat territorial du « gouvernement mondial », avec des tribunaux électroniques, gardes électroniques, prisons électroniques et la suppression automatique de la vie des « objets biologiques » ou des groupes unifiés selon un des signes reconnus dangereux par le système.

 

Dans une société numérique, aucune activité politique et sociale ne sera possible sauf l'activité liée à la loyauté énergique envers le système. Le principe de la tolérance à tous et à tout (au péché en premier lieu !), étant absolu, renverserait l'ensemble des notions de morale et exigerait une obéissance absolue par rapport au système.

 

Le « Bulletin analytique » №17 déclare :

 

« L'une des principales règles de comportement dans le Réseau mondial est la Règle de la loyauté : “La présence dans le Réseau, ainsi que ses normes, deviennent une valeur absolue... Si le Réseau ne prospère pas, cela se traduira par l'effondrement pour tous” ».

 

Les normes du Réseau, qui sont de caractère ouvertement contre Dieu, deviendront primordiales et seront érigées en absolu. De cette façon la « déification » du Réseau se produira, mais en fait la « déification » de ceux (celui) qui le gèrent. Dans le « Babylon digital » rien de ce qui est humain ne restera, sans parler de grands principes spirituels et moraux. Pour cet anti-système, l'homme sera non seulement un objet mobile numéroté. Il devrait être non seulement exécuter implicitement toutes les commandes, mais aussi prier son propriétaire qui donne la subsistance aux esclaves.

 

Quant au développement de « l'économie numérique », aujourd'hui il n'y a pas d'économie traditionnelle normale en Russie. Par conséquent, « l'économie numérique » consiste en construction du camp pour les « objets biologiques numérisés ».

 

Les mots de la doctrine pseudo-scientifique cachent le véritable but des idéologues en coulisses de la « civilisation numérique » - la construction de la tyrannie mondiale qui menace de détruire l'État russe et la majeure partie de sa population.

 

Le choix appartient à chaque citoyen, se joindre ou ne pas se joindre à ce socium  désastreux. Un homme averti en vaut deux, disaient les anciens Romains.

 

V. P. Filimonov, écrivain hagiographe et journaliste, spécialiste dans le domaine de la cybernétique et des systèmes de contrôle

 

Source ruskline.ru

Traduit par Olga (TdR)

 

Ndt

Les citations du Bulletin analytique du Conseil de la Fédération de RF prouvent que l'autorité de RF, pendant déjà 15 ans, exécute un projet sournois d'origine étrangère visant à asservir le peuple.

 

L'année 2030 du World Economic Forum semble s'approcher très vite. L'été, lorsque beaucoup d'habitants de la ville sont absents, les dispositifs comportant une caméra apparurent sur les portes d'entrée des immeubles. « Le service urbain de vidéosurveillance est mis en place dans le cadre du programme étatique de la ville de Moscou ‘Ville informatique’, approuvé par le gouvernement de Moscou le 9 août 2011 ». Selon le site officiel, il est prévu d'étendre ce service de vidéosurveillance - sans énumérer les installations, on peut dire que les caméras seront partout. Le transport en commun est déjà équipé de caméras. Des services ultérieurs - les caméras vidéo à l'intérieur des immeubles, sont également proposés.

 

la caméra de vidéosurveillance sur la porte la caméra du cour la caméra près de métro

 

Nouvelle. « L'Université spirituelle résautique » va apparaître dans les pays de CEI (ce sont 11 anciennes républiques de l'URSS), selon ria.ru [1, 2]. Le deuxième lien représente une ouverte publicité du travail en tant que « théologien » dans la presse officielle. Le ministère de l'éducation et de la science prône l'augmentation de nombre de théologiens. Une nouvelle « science » est introduite, sous un nouveau titre étranger : théologie. La ministre O. Vassilieva elle-même est ancien chef de la chaire des relations entre l'état et les confessions (auparavant des sciences des religions) de l'Académie de la fonction publique auprès du président de la Fédération de Russie.

 

Le sens du mot « résautique » n'est pas expliqué dans la nouvelle, mais il est noté que « le modèle réseautique est le plus prometteur pour le développement de la coopération internationale et la communication interculturelle ». L'université résautique ? Ça doit être analogue d'un réseau commercial, d'une chaîne de magasins. Les chaînes de magasins en Russie sont, presque toutes, une possession étrangère, immatriculées en majorité aux Pays-Bas. [3] Donc, l'université de chaîne, c'est comme le magasin de chaîne. Et toutes ces chaînes remontent à un petit groupe.

 

C'est-à-dire, l'armée de jeunes prêcheurs du diable sera formée, sous le titre de théologiens et œcuménistes. Comment ? Bien entendu, avec la réforme du dictionnaire ! La nouvelle université sera fondée sur la base de... l'Université linguistique de Moscou. Les jeunes concepteurs de contrefaçons linguistiques devront posséder le langage jésuite aussi habilement que les parrains de la mafia du patriarcat de Moscou. (Le texte du Bulletin analytique ci-dessus peut servir de modèle.)

 

 « La fête de la Trinité » à Saint-Pétersbourg« La fête de la Trinité » à Saint-Pétersbourg