Le métropolite bouffon Hilarion réforme le dictionnaire [1]. Ce docteur de théologie et académicien d’une vingtaine d’académies feigne de ne pas connaître le slavon d'église ; il a traduit le Credo orthodoxe, « pour des néophytes », vers le russe moderne avec beaucoup d’infidélité.
Il remplaça :
« je crois en seul Dieu » par « je crois en Dieu uni »,
« je crois en seule Église assemblée » par « je crois en Église unie, universelle »,
« je crois en Saint Esprit qui donne la vie » par «je crois en Saint Esprit vivifiant ».
Mais Hilarion n'est pas le seul à modifier le sens, lui font écho les sites officiels de « l'Église orthodoxe russe », l'institution d'aujourd'hui devenue un département du Vatican judaïque. L'alliance est officiellement bénie par le chef de l'état. Il se trouve que, « comme chrétien », un politique est en mesure de réconcilier la foi avec l'hérésie.
L'anti-Église universelle œcuménique qu'ils bâtissent avec le Vatican, celle de l'anthéchriste, se base justement sur la puissance réunie de tout ce qui est d'officiel. Cette puissance est étroitement liée à l'argent comme agent de commande du monde moderne. L’argent privé achète de futurs dirigeants... et le pouvoir devient privé. [2]
Dans le système uni de banques centrales toute devise est le dollar
Il existe un terme établi « la politique monétaire de crédit ». Le crédit est la demande de crédit : l’argent emprunté est créé du néant. Puisque l’emprunt doit être remboursé à l’intérêt, il faut toujours produire plus d’argent - l’inflation est une propriété intrinsèque de la « politique monétaire de crédit ». Il est à réitérer que dans l’Union Soviétique, la politique monétaire n’était point « de crédit », donc il n’y avait jamais d’inflation avant Gorbatchev.
Ceux qui ne voient pas la structure pyramidale du monde privatisé, basé sur l'émission d'agent privatisée, croient en politique. Je ne crois point en politique. La politique reflétée par les médias n'est qu'une manipulation pour détourner vers tel ou tel autre égarement et faire oublier l'essentiel. Discuter de la politique, c'est comme envisager un mécanisme et débattre de son fonctionnement : une pièce a tourné, une autre s'engage avec la troisième. Les pièces tournent et s'engagent parce que le mécanisme est conçu ainsi. Par exemple, la grandiose prise d'une péninsule historique (le rattachement) assure un grand soutien ; les partenaires de scène internationale deviennent « fâchés » et appliquent les « sanctions », bien commodes pour expliquer aux masses leur appauvrissement continu. Ensuite, le tout est immergé dans une certaine « Eurasie » mondialiste avec un « registre uni des citoyens », et les fonctions de l'État sont transmises aux banques. [3] Selon l’intervenant dans cette vidéo, on est en train de faire de la Russie un polygone pour le rodage du nouvel ordre mondial comme le camp de concentration électronique dirigé par un machiah-antéchrist.
Enfin, si l’on croit que quand les très-riches gouvernent les pauvres, c’est ça la démocratie, on croit en politique.
Avec l'émission privatisée, l'argent que nous utilisons est une carte de fidélité à ceux ou celui qui est l'émetteur réel. Nous sommes obligés de l'utiliser parce que nos États l'utilisent. Voici une preuve directe du caractère esclavagiste de l'argent mondial privé : en Chine, on mit en vigueur le système pour attribuer une cote à la personne (le mot citoyen n'est pas approprié) en fonction de sa conduite. Ceci représente le passage en douceur des signes monétaires symboliques à leur immédiate essence : mieux on sert le prince de ce monde, plus on gagne de points. La cote détermine les conditions de la vie pires ou meilleures. [4] Apparemment, « l'économie numérique » en Russie va aboutir à la même chose. Rappelons que « l'Initiative technologique nationale » pour organiser une cyber-prison fut introduite depuis le plus haut niveau presque en même temps en Russie et en Chine. En attendant, les cartes de fidélité des magasins familiarisent les gens à gagner des points pour la fidélité.
« Les jeux ARMY 2017 montrent que les États-Unis n'ont pas réussi à isoler la Russie », disent les médias. [5] Mais la Fédération de Russie, aussi bien que l'Ukraine, formées en 1991, ont le même parton que les États-Unis, c'est pourquoi les processus effectués à l'intérieur sont pareils. Ils sont pareils partout, quoique les priorités de l'avancement varient selon la nation.
Le troisième forum international des matériels militaires Armée 2017 eut lieu dans la région de Moscou en août 2017. [6] Si des dizaines d'États y participent et coopèrent, qui est censé faire la guerre à qui?
La chaîne Infowars, après avoir rapporté le programme 21 pour maintenir la population dans les grandes villes, à l'écart de la terre, poursuit avec la discussion du programme « Invasion 21 » pour la migration substitutive, le programme pour l’évincement des peuples. [7] Le présentateur cite l'article de l'édition WMD « Le dessein visant à remplacer les Européens par les réfugiés révélé ». Il s'agit du document de l'ONU de 2000 pour renforcer la migration sous prétexte du manque de ressources en main-d'oeuvre. D'une part, selon leur programme de la planification de la famille, la natalité était délibérément inhibée, d'autre part, la migration était délibérément renforcée. (Je me rappelle, en France, il y a assez longtemps, un magazine qui m'est tombé sous la main prônait des avantages de ne pas avoir d'enfants pour une femme ; l'image représentait une femme debout, les bras et les jambes écartées, « libre » sans enfants.)
Oui, mais ce plan est beaucoup plus vieux, stipulé par Coudenhove-Kalergi aussi tôt que dans les années 20. [8]
L'idée clé du livre « Idéalisme pratique », publié en 1925, était la justification de la direction spirituelle du judaïsme dans la civilisation occidentale et la nécessité de faire les Juifs l'élite dirigeante de l’Europe. Comme l'un des chercheurs résuma ces constructions idéologiques, « ce que les sociétés secrètes ont en tête, Kalergi a en langue ».
Pour Coudenhove-Kalergi, la principale chose était de prouver le rôle principal des Juifs, qu'il appelle ouvertement « la race spirituelle dirigeante de l’Europe ». Les Juifs représentent la soi-disant « noblesse de cerveau » ou « l’aristocratie spirituelle » qui est en chef dans la lutte pour le contrôle de l'humanité. C'est leur histoire qui a prédestiné cela.
Ainsi, l'avenir de l'Europe, selon Coudenhove-Kalergi, est considéré comme suit : les Européens sont mélangés avec d'autres races et nations et disparaissent en tant qu'individus, et leur élite est remplacée par la caste spirituelle juive de chefs. (doc)
Coudenhove-Kalergi lui-même raconte ses relations ainsi :
« Au début de 1924, nous avons reçu un message du baron Louis Rotschild : un de ses amis, Max Warburg de Hambourg, avait lu mon livre Pan-Europe et veut faire connaissance avec nous... À ma grande surprise, Warburg ici nous a offert d'emblée 60 mille marks-or pour le développement de trois premières années... Max Warburg, qui était l'un des plus distingués et les plus sages des hommes que je n'eusse jamais connus, se faisait un principe de financer de pareils développements. Toute sa vie, il était intéressé bien par l'idée pan-européenne... Max Warburg a organisé mon voyage aux États-Unis en 1925 pour rencontrer Paul Warburg et le financier Bernard Baruch ».
Le gang mondial se procure leurs propres « savants » et « philosophes » pour faire inoculer aux masses des idées favorables à leur plan.
Si les Européens constatent le fait d’être au sein du dessein maléfique, probablement, les politiques connus lauréats du prix Coudenhove-Kalergi (prix Charlemagne) auraient voulu faire oublier leur récompense tout de suite.
Ici, je vois également réaliser le projet d’évincement dans les rues, dans les aires de jeux et dans la région.
Le chercheur juif Moses Hadas fit valoir que le judaïsme avait adopté le principe de base du système politique platonicien : « Chaque partie du comportement humain doit être subordonné à la religion, qui est au fait un instrument entre les mains du gouverneur ». Autrement dit, les rabbins manipulaient le judaïsme afin de préserver et d'affirmer son autorité. Selon Hadas, le judaïsme a pour objectif ceci : « La chose principale est que personne, homme ou femme, ne soit pas laissé sans surveillance officielle, et que personne n'ait l'habitude de faire quoi que se soit à sa propre discrétion. Bref, nous devons lui apprendre à ne jamais penser à la possibilité d'agir individuellement ou même savoir comment le faire ».
La force judaïque se cache derrière le nom de Christ (et derrière la charité ostentatoire) et vend le Christ en réalité.
Pour ôter l’âme, rien n’est plus commode que truquer le système de l’éducation, c’est le meilleur moyen pour obtenir un personnage de jeu vidéo animé. À cet effet, on a recours aux termes camouflants :
la plate-formes pour personnaliser l'éducation
la digitalisation de l'éducation
la cybersécurité
« Les écoles de Moscou seront virtuelles », le titre dit tout. [9]
« À l'automne 2017, le Centre pour l'économie numérique de l’Université d'État de Moscou commencera le travail. Le Centre sera le porte-étendard de la création d'un nouveau type d'économie en Russie, de la digitalisation de l'industrie et de la formation de spécialistes, et traitera de la cybersécurité, a déclaré à RIA Novosti le directeur scientifique du Centre, l’académicien I. Sokolov. » [10]
Un serviteur titré des bandits mondiaux, cité dans l’article, notamment, dit :
« Il y a une autre considération importante : le monde devient de plus en plus transparent. Tout ce qui vous arrive, est enregistré et stocké quelque part. Et ce point de vue est utile pour un petit enfant. Par exemple, toutes les transactions monétaires, ou juste le comportement dans la rue, sont toujours enregistrés quelque part. Aujourd'hui, l'enfant vit déjà dans le monde numérique avec la « morale numérique ».
Je n’ai même pas voulu indiquer le lien directe de l’article original sur ria.ru, à cause de l’émanation sulfurique qu’il répand.
Les parents acceptent, car ils vivent eux-mêmes dans l'espace virtuel de la télévision et des autres médias de la force dominante. Il est intéressant d'observer comment les gens ne voient rien s'ils ne comprennent pas qui les gouverne.
De même, ils n'aperçoivent pas les caméras de télésurveillance qui apparaissent partout sur les plafonds comme les champignons après la pluie. S'ils lèvent les yeux, ils doivent les prendre pour des luminaires. Par exemple, si une station de chemin de fer s'ouvre après la rénovation, les caméras sont disposées tout le long du plafond avec un espacement régulier, et aussi dans le local de caisse.
Un autre mercenaire des bandits mondiaux dont la firme s'occupe des jeux vidéo, mais aussi de l'aménagement de la prison intelligente appelée « la ville intelligente », dans l'article « Comment les blockchains vont gérer les villes » déclara : Notre modèle d'affaires est que nous ne percevons pas le paiement, mais octroyons un crédit à la ville d'un montant du développement et de la mise en œuvre initiale. Le maintien est couvert par les paiements mensuels sur le prêt.
Voilà le crédit, l’affaire de bandit. Selon le projet, la ville paie pour que ses habitants fassent partie de l’internet des objets (il l'a dit littéralement). Et si la ville n’est pas en mesure de rembourser le crédit, cette prison bien arrangée, avec les prisonniers, passe à la possession de la firme. Le jeu fini.
Leur blockchain, ce n’est rien d’autre que le Réseau décrit dans l’article précédent. Voici un commentaire de l'internet : « L'économie de marché signifiait la privatisation des biens et des ressources (le vol), l'économie numérique signifie déjà la privatisation de l'homme (l'asservissement) ».
Cette canaille de « savants » et « experts » à gages, qui « prédisent » le futur concocté par les maîtres il y a beau temps, s’efforcent de présenter ce futur soigneusement préparé comme le développement de la science, la technologie de pointe, le progrès, la sécurité, le marché, le business, et tâchent de nous en faire accroire que ce futur est inévitable et inéluctable.
Mais en fait, tout dépend de nous. Est-ce que nous consentons à être la propriété privée du tonton R. ? Ou bien il vaut mieux prendre notre vie dans nos propres mains. Celui qui comprend le monde, agit conformément à la réalité.
Amicalement
Olga de TdR