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Deux mille ans plus tard

Posté le 14/11/2018

Deux mille ans plus tard, l’essentiel n’a pas changé d’un iota : c’est la révolte des Juifs pharisiens sous la conduite du satan contre Dieu. Aux échelons inférieurs, leur organisation inclut les représentants de toutes nationalités. Des indigènes des pays, s'ils s’engagent dans l’organisation présidée par les Juifs antichrétiens (kabbalistes, talmudistes, satanistes), reprennent leur idéologie et donc le nom historique de l’initiateur. Il s’agit de ses membres qu’on reconnaît à leurs fruits : paroles et actes. Surtout au cours des derniers siècles, leur entreprise s’est développée très activement et avec succès, si bien qu’elle est déjà proche de son point culminant. Cela est dû à deux inventions-masques : la politique et la mode.

 

Qu’est-ce la politique ? Jadis, les États étaient chrétiens, ou avaient une autre religion traditionnelle, et puisque les Juifs ne reconnaissaient pas la religion, ils n’avaient pas de droits. Puis ils ont exigé les droits en utilisant l’argent comme un outil de la pression sur les monarques. Les droits obtenus, ils se sont emparés du pouvoir, se cachant derrière la multitude de partis - ils pouvaient dès lors jouer les rôles de chefs des partis et faire avancer l’idée de la possession juive du monde sous le couvert des idéologies inventées par eux.

 

La mode en question, l’autre face du masque, ne porte pas sur l’élégance et la haute couture, mais sur la « culture de masse » élaborée dans les instituts comme Tavistock, et sur l’opinion publique implantée. Cette mode, naturellement, devient de plus en plus satanique. En même temps, la politique sert à adopter des lois sataniques.

 

Voici un tableau génial qui dépeint les victimes de ces instruments trompeurs - la politique et la mode.

 

Ilia Répine, « Le 17 octobre 1905 »

 Ilia Répine, « Le 17 octobre 1905 ». Huile sur toile. 1907, terminé en 1911

 

Ce jour-là, le tsar signa un ukase préparé par le premier ministre Vitte pour conférer au peuple les « fondements inébranlables de la liberté civile », l'inviolabilité de la personne, la liberté de conscience, de parole, de réunion, et reconnaître la Douma en tant qu'organe législatif. Ce fut une étape du complot judéo-maçonnique contre l’État russe. Vitte était franc-maçon du haut degrés, comme beaucoup dans l’entourage du tsar, sauf son oncle, grand prince Sergueï Aleksandrovitch, qui était un chrétien dévoué et qui fut tué 8 mois avant cet événement.

 

Ces femmes-là ne se doutaient pas de l’avenir dont elles s’attiraient alors : la ruine complète de la Russie, la disparition du monde habituel, un désastre inouï [1] et ensuite, la terreur rouge - la terreur juive. [2]


À la fin du siècle, j’étais moi aussi dans la mode générale qui précédait la révolution juive de 1991-93, préparée également en plusieurs phases.

 

Des gens trompés étaient engagés dans la révolution juive de 1917, les gens honnêtes et sincères qui militaient « pour la vie meilleure » sans savoir les véritables objectifs de la révolution. En Russie, les Juifs ont aboli la foi avec leur nouveau régime politique ; en Europe durant le XXe siècle, ils l’ont éliminée avec la mode. Tout comme en Russie pendant la phase préparatoire : « les libéraux et les franc-maçons ont effacé, repoussé la notion de foi comme « réactionnaire » et ne correspondant pas à leur propre « éducation ».

C'est une citation du livre Les racines occultes de la Révolution d’octobre écrit par Valeri Chambarov en 2005. Il retrace la vie du personnage clé de la révolution - Jacob Sverdlov, Juif kabbaliste, qui est mort en mars 1919, mais eut le temps d’organiser la « terreur rouge » - la terreur juive, l’assassinat de la dynastie de tsar, et de fonder le réseau des camps de concentration. Trotski-Bronstein prit la relève après sa mort.

 

Bien qu’il soit écrit dans les termes politiques, et malgré quelques omissions, c’est un livre valable et instructif qui contient le matériel historique précieux. Il semble être l’unique étude sur cet acteur de la révolution dont le nom a été attribué, après la mort de Lénine, à une ville et à de nombreuses rues et places.

(Flavien Brenier, en tant que contemporain informé, écrivit un article haineux sur Lénine sans mentionner l’éminence grise Sverdlov, ce moteur de la révolution...)

 

L’organisation juive est une pègre par nature : hors la loi de Dieu et la morale respective. Le Talmud les enseigne que tout est permis à l’égard des non-Juifs : voler, sacrifier, pourvu que cela se fasse en secret. Ils n'épargnent pas les Juifs qui restent en dehors de l’organisation. La nature mensongère est évidente à celui qui voit, dans leur presse, radio, TV. Les apparences, les noms abrégés des ministères, comme du temps soviétique, tous ces anciens titres, ces journaux connus, avec leurs articles déments toujours signés de noms très russes, derrière tout cela sont tout simplement les satanistes. Et tous ces journaux devenaient de plus en plus judaïsés durant la dernière dizaine d’années.

 

Comment est-ce possible que la pègre dirige chaque pays et le monde entier ? Retrouvez la réponse ici, section « tsarine ».

 

Et s’agissant de la pègre, Jacob Sverdlov était en même temps un agent lié au gang mondial, notamment à Jacob Schiff, et d’autre part, à la pègre locale, les voleurs et les criminels. Jacob Schiff donnait des instructions à Sverdlov concernant l’assassinat de la famille du tsar et des autres membres de la dynastie. [3]

 

***

L’organisation judéo-maçonnique est une organisation tout niveau, ce qui assure son succès. Le niveau inférieur, ce sont de divers clubs et associations, notamment de culture ou de sport. Dans de telles réunions, on peut repérer, après une certaine expérience, des personnes faisant de la propagande. Si vous êtes au courant, vous pouvez parler normalement avec eux. Mais qui est au courant ? Dans le cas général, ils n’ont qu’à insinuer une opinion aux autres en tant que bons copains.

 

On peut constater que les gens ignorent tout ce qui concerne la foi, les Juifs antichrétiens, la biométrie et le camp de concentration futur, sans parler de l’argent-arnaque. Puisqu’ils ignorent la foi, ils sont prêts à accepter n’importe quoi en échange du confort et des plaisirs. Les tentatives d’en parler suscitent l’ironie et des moqueries. La population se trouve ainsi dans la position d'une grume entraînée par le torrent. On ne peut qu'observer l’avènement de l’antéchrist à tous les stades, en abstraction, en toute quiétude.

 

Rétrospectivement, je comprends que quelques personnes que j’avais connues par le passé, étaient tout simplement les membres de l’organisation judéo-maçonnique - selon leurs paroles et actions. À l’époque, j’ignorais certes son existence et en outre, étais habituée à mépriser la mise en relief de la « nationalité » (en russe, le mot respectif veut dire l’appartenance à une ethnie, l’origine). Aussi, en me souvenant des transformations industrielles où j’étais impliquée dans les années 1990 et au cours des années suivantes, je vois que c’était tout simplement la destruction organisée par les cadres supérieurs de l’organisation. Fait notable, la destruction était accompagnée des beuveries fréquentes pour le personnel qu’ils finançaient de temps en temps.

 

***

L’église d’aujourd’hui ne peut susciter que la méfiance : des caméras de surveillance, des détecteurs de métaux, des clubs de toute sorte auprès de l’église, des échanges et études avec les catholiques. Les émissions TV, les sites des autorités ecclésiastiques font dériver la foi vers la superstition : par exemple, une femme « pieuse » raconte que toucher une chose sacrée l’a aidé à acquérir un appartement. Les prêcheurs diplômés des « universités orthodoxes », dans un cours pour les néophytes, tournent la foi en une sorte de jeu vidéo avec la programmation neurolinguistique, en réduisant les notions divines aux notions humaines. Des « nouveaux croyants » invitent à l’église où des « nouveaux prêtres » vont raconter la nouvelle version juive de la doctrine prétendument orthodoxe. Un jour, nous étions trois personnes en voyage qui ne se connaissaient pas avant, et ces deux jeunes personnes me racontaient d'une seule voix et avec persuasion la version de « l’orthodoxie » qu’ils ont entendue de différents prêtres, où « le peuple élu juif » occupait une place très honorifique. Après l’ère sans religion, celle-ci fut invitée ; ce faisant, les jeunes de l’époque post-soviétique sont habitués non pas à lire, mais à regarder les vidéos et le smartphone. Donc, ils optent pour l’église-club avec de nouveaux prêtres, au lieu de l’Évangile.

 

À la tête de tout cela, un patriarche œcuméniste. Comment peut-on croire que le trafiquant des années 90 soit un « très saint » patriarche ? (c’est son titre officiel). Et qui est en réalité un autre hiérarque, avec le titre « votre béatitude », dont une interview savamment dressée n’est qu’une pièce de la propagande antisoviétique ? À en juger d’après l’interview, c’est un agent juif qu’on a enseigné le langage jésuite. Ce n’est pas l’unique pièce de la sorte en déguisement ecclésiastique, j’ai lu d’autres qui dénonçaient les « communistes, bolcheviks », par exemple, dans la biographie d’un évêque.

 

Mais c’est justement l’Église, la vraie, qui savait toujours le véritable nom de l’ennemi et son but, qui voyait clair à travers les masques politiques ! C’est pourquoi, si un prêtre vous dit de la politique, fût-ce dans les paroles doucereuses, c’est comme s’il tenait au-dessus de sa tête une affiche : « Je suis agent juif sataniste ».

 

Les péripéties ecclésiastiques organisées en Ukraine transfèrent l’église dans le domaine politique. Un expert en politique d’église publie des articles où il analyse les péripéties. Un autre analyste politique d’église n’hésite pas à annoncer que « la nouvelle organisation religieuse en Ukraine sera presque étatique ». Il appelle un agent connu, muni de la tenue et des titres orthodoxes, « le ministre des affaires étrangères de l’Église orthodoxe russe », une allusion transparente qui fait sentir que l’église n’est plus l’église. Il annonce également une éventuelle visite du pape à Moscou « en échange du soutien dans la question ukrainienne » - une rencontre des principaux agents satanistes.

 

Ceux qui en 2016, lors de la rencontre du patriarche avec le pape, parlaient de l’apostasie, étaient en retard, du moins, de cent ans. C’était alors l’apostasie, au XIXe siècle et au début du XXe. De nos jours, c’est déjà l’aménagement de l’anti-église, en conservant tous les noms, mais en altérant le contenu. En effet, les satanistes, pourraient-ils donner le feu vert à la religion en Russie sans assurer à l’avance le recrutement et les affectations de leurs agents à l'église ?

 

Les opposants-militants, de leur part, dénoncent le patriarche et l’œcuménisme... et à la fois, portent aux nues le tsar abdicataire Nicolas II mis au nombre des saints. Un site « opposant », avec l'apparence patriotique, qui se dit lié aux moines du mont Athos, qui publie des « lettres patriotiques des membres de la famille Romanov de l’exil » d'origine douteuse, a également publié une vidéo d’un supposé moine d’Athos qui, en vêtements brillants, annonce l’avènement futur d’un « tsar et patriarche en une personne, Moïse et David russe, qui sera glorifié par tout le monde ».

 

Une sorte de politique d’église est formée, avec ses bolcheviks et mencheviks en soutanes, d'où le scénario :

 

Acte 1. (Par le passé, comme le dépeint le tableau de Répine.) Les étudiants, les femmes et les ouvriers, inspirés par la mode, manifestent contre le tsar. Vient ensuite la révolution de 1917 et proclame que l'église est séparée de l'état, et l'école est séparée de l'église.

 

Acte 2. (À venir.) Les ouvriers sont aujourd’hui peu nombreux ici, à part les migrants importés. Donc les femmes et les étudiants, les unes et les autres portant un jean troué selon la mode inculquée aux « stupides gentilés », défilent, enthousiasmés, pour accueillir « le tsar russe orthodoxe, le tsar et le patriarche en une personne » - monsieur Antéchrist juif. La révolution finale réunit l'anti-église, l'état et l'école. Rideau.

 

Telle est la moquerie du diable...

 

Le satan se cache derrière son masque multiforme de politique. Le grand public adopte la mode comme sa religion tacite. Quelle alternative peut exister réellement en public dans le monde qui est privatisé et judaïsé sans le savoir ?

 

 

Amicalement

Olga de TdR