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Tendre la main

Posté le 06/02/2016

Ce qui suit est extrait de l'article Pakistan: Les filles chrétiennes ne sont là que pour le plaisir des hommes musulmans.

 

" Récemment, trois jeunes filles chrétiennes au Pakistan qui avaient rejeté les harcèlements des hommes musulmans riches ont été mutilées par eux. Une des filles est morte.  

C'était de 13 Janvier à Lahore. Trois filles de 17, 18 et 20 ans rentraient chez eux après une dure journée de travail. Quatre hommes musulmans dans la voiture ont commencé à les poursuivre et les harceler. Les hommes faisaient du tapage, criaient des commentaires indécents et obscènes et insistaient que les filles montassent dans la voiture «pour faire une virée et se divertir».

Les filles ont rejeté «l'invitation», en ajoutant qu'elles étaient «chrétiennes dévotes et n'acceptaient pas les relations sexuelles hors le mariage».

Cela a changé tout d'un coup le comportement des hommes qui furent plus agressifs et ont commencé à contraindre les filles à monter dans la voiture, menaçant le faire de force. Effrayées par la situation dangereuse, les filles se sont mises à fuir dans la panique. Cela a excité davantage les hommes musulmans, l'un d'eux a crié: «Comment osez-vous nous fuir, les filles chrétiennes ne sont destinées que pour le plaisir des hommes musulmans».

Les hommes musulmans serraient les filles de près, braquant la voiture sur eux. Deux filles sont tombées sur le sol; l’une a eu son hanche cassée, l’autre ses côtes écrasées. La plus jeune des filles, Kieran Masih de 17 ans, a été jetée dans l'air et s'est écrasée contre le pare-brise. Les musulmans, en riant, ont mis du gaz, avec la fille sur le pare-brise. Ensuite, le conducteur a  apparemment donné un coup de frein. À l’arrêt brusque, elle fit jetée dans l’air et à terre. Avec le crâne fendue et des os cassés, quelques minutes plus tard elle était morte.

À son ordinaire, la police pakistanaise ne faisait pas d'efforts pour retenir les jeunes et retardait l'enquête.

Les messages pareils, avec les allégations selon lesquelles  un homme musulman ait le droit de violer les chrétiennes et les autres «infidèles», sont fréquents au Pakistan.

Un violeur musulman au Pakistan qui a attaqué une fille chrétienne de 9 ans, lui disait de «ne pas s'inquiéter, parce qu'il avait rendu le même service à d'autres filles chrétiennes».

Les habitants du lieu, discutant du commentaire sur la victime de 9 ans violée, ont déclaré: «C'est une honte. Cela arrive souvent. On tient les filles chrétiennes pour un produit qu'on peut gâcher à loisir. Le viol est considéré comme leur droit. Dans la mentalité communale cela n'est pas considéré comme un crime. Les musulmans les estiment être un «butin de guerre».

En 2012 au Royaume-Uni neuf hommes musulmans, dont huit du Pakistan, ont été reconnus coupables de viol et l'exploitation sexuelle des enfants . Ces hommes eux aussi disaient régulièrement à leurs victimes «que c'était normal de les transmettre entre dizaines d'hommes pour le sexe», parce que «nous le faisons dans notre pays».

Aujourd'hui, avec la prolifération des musulmans à l'Occident, ce qu'ils font avec des femmes «infidèles» dans leurs pays d'accueil ressemble de plus en plus à ce qu'ils font avec des femmes «infidèles» dans les pays où ils sont nés - comme l'ont appris les milliers de femmes à Cologne et d'autres villes. "

 

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J'ai lu un livre «La dernière estive» de Antonin Malroux. L'action se déroule en Auvergne dans les années 1940 et après la guerre. Il y avait deux tout jeunes qui n'étaient pas natifs de là, lui d'une famille espagnole, elle d'une famille juive de Paris, il s'est fait que les deux furent adoptés par les habitants du lieu. C'était un couple d'amoureux, Auguste et Hélène s'aimaient tendrement. La fille était une beauté et elle avait du mal à repousser les avancées des gars dont Louis, le fils de la famille où elle vivait. Tous les deux étaient pieux et pratiquants, et ils aidaient le curé du village. La France était chrétienne à l'époque.

 

Les envahisseurs allemands étant entrés dans le village, on a dit à la fille de se cacher et elle s'est cachée dans le voisinage. Son chéri est revenu au village de sa place de travail et s'est précipité la chercher. Il a entendu les appels au secours et a reconnu sa voix. Lui et les Allemands furent sur place en même temps. Il a vu Louis au-dessus d'elle, les bretelles défaites... Le violeur a frappé la fille et le coup de poing fut mortel. Auguste voulait sauter  vers eux, mais les Allemands l'ont retenu. Louis les a vus et a dit aux Allemands: «Ce n'est qu'une Juive». Ils l'ont regardé avec mépris et l'ont tué avec un coup de fusil et sont partis. (En Europe les envahisseurs allemands étaient «gentils».)

 

Auguste ne pouvait pas croire que sa bien-aimée était morte et il a commencé à prier et demander qu'elle revive... en vain. Enfin il a pris son corps et il a fait pour elle une sépulture en pierre, car il était un maçon talentueux.

 

Il n'a rien dit à personne, tout le monde a décidé que le fils de la famille eût péri «en héros» et que Hélène eût été envoyée au camp allemand. Auguste vivait ensuite 20 ans, toujours avec son amour perdu et son chagrin éternel. Il n'était plus croyant, refusant de participer «à ces comédies» avec le curé.

 

Il travaillait dans la montagne avec les bergers et faisait le fromage local. Il a bâti dans la montagne une petite fontaine en pierre, fontaine d'Espérance, comme il avait appelé sa bien-aimée.

 

En mourant à l'âge moins de quarantaine d'années, il a découvert toute la vérité à plusieurs personnes proches, dont le vieux curé. Après son décès ils ont découvert la sépulture de Hélène. Ils ont enterré les deux ensemble, et tout le village y était présent comme s'ils fussent leur famille.

 

Et puis dans quelque temps le curé a pu décrypter le message de Auguste, un message incrusté sur un mur de pierre. Sans fixer son regard sur le mur, il a vu l'image en relief, l'image tridimensionnelle faite par cet homme doué qui avait devancé son siècle. C'était la main ouverte, la main tendue du fond de l'image, qui appelait, qui demandait.

 

Cet homme a perdu la croyance, mais il a conçu l'idée providentielle: tendre la main aux autres pour s'élever, pour nous relever, pour survivre.

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Aujourd'hui, au moment critique de l'histoire humaine, tendez la main à l’autre en le voyant prendre un mauvais chemin, soit-il contagionné par l'idée de «suprêmatie» de toute sorte, avant qu'il se transforme en monstre comme ceux dans les deux histoires. Tendez la main à ceux qui ont croupi dans les pièges faciles type facebook, se faisant une proie prête à être engloutie par le camp de concentration numérique qu'on voit déployer; à ceux qui suivent la «mode», cette religion inconsciente d'imitation, qui en fait, détermine le mode de vie, imposant le mode de fonctionnement comme au robot.

 

 

Amicalement

Olga de TdR