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04/07/2018

 

Un grand faux qui est à l’origine du monde truqué

Extrait du bouquin « La kabbale, un complot contre Dieu »

 

Étant païenne par esprit et par contenu des enseignements, la kabbale s'infiltra secrètement dans le judaïsme et s'enveloppa dans les concepts et noms bibliques. Les kabbalistes-talmudistes, apostasiés de la vraie religion de Moïse et du vrai Messie juif, devenus un instrument du diable et se cachant derrière le peuple juif, conduisent obstinément l'humanité à la ruine. (citation du livre)

Il s'avère que ceux qui gouvernent le monde et chaque pays, bien qu’ils s’appellent Juifs, ne les sont même pas dans le sens initial du mot, mais sont satanistes, disciples de l’imposteur Akiva qui adopta l’enseignement chaldéen, modifia les Écritures et entra en collusion avec le diable. Et ils œuvrent pour que les autres peuples cessent eux aussi d’être eux-mêmes et deviennent satanistes, sans même le comprendre. De cette façon les héritiers d’Akiva - le gang mondial - ont obtenu une armée de fanatiques exploitée pour arriver au pouvoir absolu. Il s’avère donc que les Juifs furent les premiers trompés, pour ensuite tromper les autres. L’œuvrette qui provient des moines du mont Athos fait la lumière sur la genèse de l’organisation criminelle qui accapara le monde.

 

 

La kabbale, un complot contre Dieu. Édition Sibirskaïa blagozvonnitsa, 2010. Réd. Lobanova A. Z. La kabbale, un complot contre Dieu. Édition Sibirskaïa blagozvonnitsa, 2010. Réd. Lobanova A. Z. Révérend Syméon le Nouveau Théologien enseigne : né au monde, ne pense pas que tu es né pour jouir du monde et savourer ses joies, car si c’était le but de la naissance, tu ne connaîtrais pas la mort. L’homme naît pour atteindre, par le travail de la vie vertueuse, la hauteur de sainteté, devenir digne de demeurer dans les lieux célestes, dans l'assemblée des anges. Aussi l'homme, comme une créature conçue pour être communiée à Dieu, répondra-t-il pour son existence devant Dieu.

 

Et lorsqu'on voit le chaos, les catastrophes, les désastres sévir dans le monde de par l'incitation du diable, on comprend qu'il y a des châtiments pour les dérogations à la loi de Dieu, pour les péchés. Le péché est une infraction - et une infraction est suivie du châtiment.

 

 

 

 

 

Akiva ben Joseph est vénéré comme le plus important de tous les sages talmudiques. Ses apologistes disent qu'il est sur un pied d'égalité avec les personnalités de la tradition juive comme les prophètes Moïse et Isaïe, et que sa valeur est inégalée sur la scène historique juive.

 

En effet, la doctrine d’Akiva eut une influence profonde sur le développement du judaïsme post-biblique. Les règlements et les doctrines d’Akiva ont toujours été reconnus déterminants dans l'étude de la tradition juive. Dans un sens plus large, la philosophie d’Akiva eut un impact énorme sur la direction générale de la pensée occidentale, car sous son influence, furent formées les idées non seulement des penseurs juifs, mais aussi d'un certain nombre d'écrivains non-juifs qui ont jeté les bases de la philosophie moderne. (L. Finkelstein. Rabbi Akiva. Alia Library, 1990).

 

Quelle est la philosophie d’Akiva ben Joseph, et quelle est sa contribution au destin historique du peuple juif ?

 

Avec la chute de Jérusalem en l'an 70, à Yavné, près de Jaffa, apparurent une académie et un sanhédrin où Akiva devint un élève et successeur de Yohanan ben Zaccaï, le fondateur bien connu de l'académie de Yavné. Akiva était non-Juif de naissance, un prosélyte qui n'avait aucune éducation religieuse jusqu’à ses 40 ans ( « am-gaarets », un ignare complet). Au bout d'un moment, Yavné s'est rendu célèbre de noms des catéchistes (tannaïm) dont les travaux posèrent les fondements du Talmud et de la Kabbale (Encyclopédie juive, article Akiva).

 

Après 25 ans de sa formation, Akiva fonda ses propres écoles. Au cours de nombreuses années d'existence, les écoles ont formé des millions de disciples-sages qui installaient une nouvelle conscience chez le peuple juif - au lieu de la religion paternelle de l'Israël et par opposition à l'enseignement du Christ qui se propageait rapidement parmi les Juifs.

 

La nouvelle philosophie, fondée par Akiva ben Joseph, était radicalement différente des enseignements inspirés par les prophètes d'Israël. Les enseignants de l’académie de Yavné étaient les descendants des sages-panthéistes de retour de la captivité de Babylone. Pendant les 70 ans passés en Chaldée, les prêtres juifs vivaient dans le milieu des sages-païens qui imaginaient Dieu provenant du monde, comme l’être inconnu, impersonnel, indéfini, et non pas le Créateur de l'univers. Pour eux, chaque matière - fût-ce une pierre ou un homme - possédait l'esprit et l'âme, et Dieu était la somme de toutes ces âmes dans le monde. L'homme, selon cette vision du monde, était comme un dieu du monde autour de lui et remplaçait vrai Dieu - le Créateur du ciel et de la terre.

 

La mystique et la magie de Babylone, qui se trouvaient à la base des enseignements de la Kabbale, furent très répandues parmi les diplômés de l’académie de Yavné et les adeptes d’Akiva. Ils introduisirent dans la conscience juive une nouvelle idée de la nature du Messie. Il perdait sa Dignité divine et était attendu comme un simple homme, un roi mondain des Juifs qui allait exterminer les ennemis de l’Israël. Les éclaircissements des prophètes sur la vie après la mort furent remplacés par l'enseignement de la relocalisation des âmes, emprunté aux Chaldéens.

 

Dans un premier temps, la nouvelle doctrine des prêtres juifs était gardée secrète, mais puis, pour la conserver, émergea la secte des pharisiens. Peu nombreux mais cimentés étroitement, imposant à ses membres la préservation du secret la plus stricte, les pharisiens poursuivaient constamment un double objectif : de prendre le pouvoir politique et attirer progressivement les croyances du peuple en faveur de leurs enseignements secrets. Et ils ont bien atteint ces deux objectifs. Les pharisiens se sont emparés des institutions judiciaires, dominaient le sanhédrin et avaient une telle influence que les juges et même les prêtres dépendaient d'eux entièrement.

 

Possédant la majorité des postes religieux les plus élevés et la majorité des voix au sanhédrin, les nouveaux sages pouvaient interpréter la loi à leur gré. Le Pentateuque, cette vraie Torah, était progressivement remplacé par des innovations qui, au fil du temps, ont complètement déformé le sens de l'alliance donnée par Dieu à Moïse. Les rabbins ont commencé à interpréter et commenter les Saintes Écritures d'une manière déformée, en essayant d’y trouver, dans une forme chiffrée, ce qu'ils avaient appris à Babylone. Ces interprétations sans fin qui constituèrent le contenu du Talmud, mirent toute la vie des Juifs en soumission totale à l'autorité des pharisiens. En fait, les nouveaux sages et les rabbins-pharisiens produisirent une révolution religieuse et politique, ayant privé la plupart du peuple juif de vraie parole de Dieu.

 

Le mysticisme de la kabbale représentait la même magie pour laquelle le peuple juif à été maintes fois puni par Dieu, car la sorcellerie sous toutes ses formes était interdite par la loi de Moïse, même sous la menace de mort.

 

Dans les écoles d’Akiva, la pratique de prière traditionnelle juive fut remplacée par enseignement des techniques de la méditation et de la communication avec le monde des esprits. (Il existe de nombreux documents qui montrent directement l'interaction rituelle des kabbalistes juifs avec le satan. Dans un effort pour cacher cette relation des autres peuples et aussi de la majorité de son propre peuple qui désapprouvait ces rituels, les conspirateurs kabbalistiques ont rendu leur activité profondément secrète. Toute tentative de découvrir le mystère aboutissait à la mort immédiate du délinquant en utilisant de terribles rituels sanglants.) Rabbi Akiva, selon le Talmud, était initié aux mystères de cette « science supérieure » et était l'un des rares qui « était entré dans le jardin d'Eden », c’est-à-dire, pratiquait la méditation dans une forme complexe.

 

Dans la langue des kabbalistes, « l’entrée dans les jardins d'Eden » signifiait le degré le plus haut de communion avec le monde démoniaque - avec le satan lui-même. Cependant, cette méditation eut pour beaucoup les conséquences les plus tragiques : de quatre sages qui ont pénétré dans les « jardins d'Eden », l'un est devenu fou, l’autre est mort, le troisième renonça à la loi des Juifs, et seul rabbi Akiva est sorti sain et sauf du terrain fatal. Cela indique qu’Akiva atteignit des profondeurs inaccessibles pour beaucoup dans la pratique de communication avec le diable.

 

De nombreux exemples similaires montrent que là où tous les autres mystiques subissent la détérioration des forces après avoir approché du satan, celui qui jure obéissance au diable, qui prête serment d’être loyal à lui, corps et âme, obtient de lui de grands dons occultes.

 

C’était le cas d’Akiva. Avec l'aide de techniques de méditation et des rituels magiques kabbalistiques, eut lieu l'atteinte du « trône du Seigneur », ce qui signifiait chez les kabbalistes le trône du prince des ténèbres. La grande lumière démoniaque descendit sur Akiva qui avait juré obéissance au diable, il obtint des révélations de l'esprit déchu et par son ordre, composa une nouvelle philosophie pour Israël.

 

Éclairé de lumière, dans l’illumination de la puissance mystique, Akiva se sentait un prophète plus élevé que Moïse et ayant le droit de composer des nouvelles Écritures pour remplacer celles données à Moïse. (La composition de textes par Akiva influencée par les forces mystiques n’est pas la seule dans l'histoire de l'humanité. Certains philosophes ont créé leurs œuvres, guidés par le génie de démon. K. Marx admit que le génie de démon lui inspirait des idées de l’opposition à Dieu. Il est connu que le penseur juif Spinoza voyait, tous les matins au réveil, un démon auprès de son chevet. Sous la dictée du satan, « le pape noir » Anton la Vey écrivit la bible satanique.) Akiva commença la rédaction de la Bible hébraïque, et les disciples enthousiastes écrivaient sous sa dictée de nouveaux textes des livres sacrés.

C'est justement de ce ministère du satan que parlait Jean le Théologien en accusant les nouveaux sages-kabbalistes juifs : « Ils se disent Juifs, mais ne les sont pas, ils sont une synagogue du satan. » (Apocalypse 2.9)

 

La modification des Écritures fut complètement terminée vers le Xe siècle par des milliers de disciples d’Akiva - les massorètes.

 

Le dieu d’Akiva était le satan, qui lui donna, par la force du contact étroit avec lui, tous les « droits » pour se battre avec vrai Dieu. Il est donc naturel qu’Akiva n'aimât pas la religion ancienne de Moïse révélée par Dieu. Mais il détestait davantage encore le christianisme qui se répandait rapidement parmi les vrais disciples d'Abraham et de Moïse qui n’étaient pas infectés par les croyances démoniaques de Babylone.

 

Or, la première église chrétienne était une église purement juive, constituée uniquement d’habitants de Jérusalem. Elle comprenait d'abord 120 personnes, ensuite, juste en un jour, ce nombre a augmenté de 3 000 personnes, puis encore de 5 000. Les habitants de Jérusalem ont appris la vérité sur l'accomplissement des prophéties messianiques sous l'influence de la prédication de l'apôtre Paul, ex-pharisien. Le premier évêque de l'Église Messianique de Jérusalem était le demi-frère de Jésus-Christ, Jacob, venu de la lignée de David, et après, seuls les évêques d'origine juive occupaient la chaire épiscopale de l’Église de Jérusalem depuis 134 ans : Siméon, Justus, Zachée, Tobias, Benjamin, Jean, Matthieu, Philippe, Sénèque, Justus P, Levi, Ephraim, Joseph et Judas.

 

C’est pourquoi le but de l’œuvre de toute la vie d’Akiva était l'éradication, parmi les enfants d'Israël, de la vraie foi Moïse et l’implantation du rejet de Christ dans la conscience collective du peuple juif. Et cela a été réalisé par l'imposition des enseignements secrets cabalistiques et talmudiques et par la correction des prophéties messianiques dans les Saintes Écritures. L’Encyclopédie juive elle-même rapporte que « la judéïsation (modification) des Saintes Écritures fut produite par opposition au christianisme » (Encyclopédie juive, Akiva).

 

Par exemple, le mot « Vierge » dans la prophétie d'Isaïe sur la naissance surnaturelle du Messie (la Vierge aura à son sein et enfantera le Fils)  a été remplacé par les mots « jeune femme ». Et la prophétie sur la résurrection du Messie, l'Homme-Dieu, dans les Psaumes de David, exprimée par les mots  « Dieu, ressuscite ! Que Dieu ressuscite » est remplacée par l'incertain « lève-toi, réveille-toi ».

 

Les disciples d’Akiva ont produit la corruption des prophéties, arrivant non seulement à la distorsion, mais à la destruction complète du sens de la nature Divine du Messie, de Sa souffrance sur la croix, la Résurrection et la Rédemption de l'humanité. Par des efforts des réviseurs massorètes, au lieu d'Ange de l'Alliance, qui avait à inscrire dans les cœurs des gens la nouvelle loi de la vie ; au lieu du Grand Prêtre au grade de Melchisédech, qui devait racheter par son sang toute la race humaine du péché et de la mort ; au lieu du Grand Prophète qui venait pour établir partout sur terre la vérité et la foi ; au lieu du Fils des Écritures de Dieu - on a commencé à parler du messie simple conquérant du monde, un homme ordinaire, appelé à découronner et abolir tous les royaumes de la terre et à faire la Judée la souveraine du monde.

 

Cette idée de Messie vit parmi l’Israël jusqu'à ce jour. Selon la vision des rabbins contemporains, même des plus respectés, sa naissance sera ordinaire, sans miracles, et sa mission sera la restauration et le renforcement du royaume temporaire.

 

Mais l'histoire montre qu’avec ces vues déformées sur la nature du vrai Messie, le peuple juif a déjà eu environ deux cents « venues » de messie dans le monde - tandis que tous les prophètes avaient proclamé l’unique Rédempteur de l'Israël et de l'humanité tout entière.

 

L'apparition des faux messies n’est pas fortuite, car en tout temps, il y avait de nombreux prétendants pour le rôle d’un roi terrestre. Mais le Roi céleste, Roi dans le sens spirituel, Roi du royaume moral, qui est venu sur la terre pour renouveler l'humanité déchue en la personne d'Adam, ne pouvait apparaître qu'une seule fois et établir son royaume de grâce pour toujours. Tous les peuples de la terre vont Le glorifier (Genèse 22, 18), et toutes les tribus vont Le louer (Ps. 71,17). Le Messie promis est Fils de Dieu et Fils de la Vierge, le vrai Roi d'Israël, le Roi éternel, Qui n'aura pas de successeurs, et son royaume n’aura pas de fin.

 

Akiva changea le véritable calendrier hébraïque puisque de nombreuses prophéties indiquaient les dates exactes de la venue du Messie dans le monde. La distorsion de la chronologie biblique fut réalisée en réduisant les années de la vie des patriarches. Si l'on compare la Septante ancienne (IIIe siècle avant Jésus-Christ) - qui est la traduction exacte du vrai texte des Écritures hébraïques avant Akiva - avec une nouvelle Bible massorétique, on peut voir la différence des années de la vie des patriarches avant la naissance de leurs premiers-nés.

 

En particulier, le texte hébraïque indique qu’Adam donna naissance à Seth à 230 ans, et Akiva écrit - à 130 ans, etc. Si depuis la création du monde jusqu’au déluge, s’écoulèrent 2262 ans, Akiva, soustrayant les années de la vie des patriarches, spécifie 1656 ans. Au total, Akiva élimina des Écritures 1748 ans, de sorte que la Nativité du Christ, datée de l'année 5 508 à partir de la création du monde dans la chronologie hébraïque (et chrétienne), est reconnue d’après le compte d’Akiva comme datée de 3 760. Si tous les peuples du monde comptent maintenant 7 516 ans depuis la création du monde [pour l’an de l’apparition du livre], la chronologie d’Akiva, imposée au peuple juif, indique 5 769 ans. Les modifications apportées au texte des Écritures, ôtèrent le sens des fameux « septénaires de Daniel » (Dan. 9, 24-27) qui annonçaient la venue du Messie avec une précision d’une année et se terminèrent complètement vers le moment de la naissance du Christ.

 

 

Traduit par Olga (TdR)